Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

 

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

Isaac recevant Jacob (détail), église supérieure de la basilique Saint-François (Assise)

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

 

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

Master of the Isaac Stories – Scenes from the Old Testament – Isaac Blessing Jacob –

 

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

 

The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

The Isaac Master was an Italian Gothicpainter active in the decoration of the Basilica of San Francesco d’Assisi in Assisi at the end of the thirteenth century.[1]

The Name

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

Isaac, from whom the Master is given his name

Master’s name is derived from a frescopainting of the death of Isaac for which he is known, the fresco is located in the Upper Church of St Francis at Assisi, depicting Isaac blessing Jacob and Esau.[2]

Who Is The Master?

Much discussion has been held as to who is the Master. Some speculate that he was Gaddo di Zanobi Gaddi (due to similarity with Gaddi’s work in Rome and Florence),[3] while others say Pietro Cavallini or Giotto.[4]

Whomever, the Master seems to have been familiar with the Roman artists Filippo Rusuti and Jacopo Torriti, as well as with the work of Cimabue from Florence. He anticipates, by about a decade, some of the advances made by Giotto in his work; for this reason he is considered to be a central figure in the so-called “Giotto Question“.

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

Scenes from the Old Testament – Isaac Rejecting Esau

References

  1. Jump up^ “Master of the Isaac Frescoes”. http://www.fofweb.com. Retrieved 6 November 2012.
  2. Jump up^ “Isaac Master”. http://www.answers.com. Retrieved 6 November 2012.
  3. Jump up^ “The Isaac Master; a reconstruction of the work of Gaddo Gaddi,”. http://www.worldcat.org. Retrieved 6 November 2012.
  4. Jump up^ “Masters, Anonymous, And Monogrammists, §I: Isaac Master (1290)”. http://www.artfact.com. Retrieved 6 November 2012.
Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

Isaac recevant Jacob (détail), église supérieure de la basilique Saint-François (Assise)

Maestro d’Isaccoou mieux, le Maestro delle Storie di Isacco(« Maître des histoires d’Isaac »), est le nom de convention d’un peintre anonymeitalien de la fin du Duecento (le xiiie siècle italien).

Biographie

Deux scènes à fresque au niveau de l’église supérieure de la basilique Saint-François d’Assise, qui racontent l’histoire de la mort d’Isaac, constituent pour les historiens d’art, une véritable énigme encore loin d’être résolue.

Ces deux scènes sont d’une telle modernité qu’elles ont toujours alimenté des discussions sans fin quant à l’attribution de ces fresques à un peintre, sans nul doute en possession de grandes connaissances techniques et qui entrent à plein titre dans le cadre de ce que l’on appelle la question giottesque (it).

Se trouvant au registre supérieur de la basilique, à côté des fresques de l’école romaine (Stefano Pasquariello et Filippo Rusuti) et des toscans (élèves et disciples de Duccio di Buoninsegna et de Cimabue), le Maestro d’Isacco se distingue par la distribution des volumes et une tridimensionnalité qui anticipent de plusieurs années la révolution picturale de Giotto.

Pour cette raison, on a pensé à un maître romain à l’apogée de son activité (Pietro Cavallini) ou bien à un élève de Cimabue qui pourrait s’identifier au très jeune Giotto.

Quoi qu’il en soit, le Maestro d’Isacco, du fait de sa haute technicité au service d’une tridimensionnalité, peut être considéré comme étant l’un des premiers peintres gothiques italiens, bien au-dessus, par son originalité et sa technique, des peintres de son temps.

Les fresques

Les deux fresques représentent : Isaac bénissant Jacob (Gen. 27, 1-29) et Isaac repoussant Ésaü(Gen. 27, 30-40).

La scénographie des deux tableaux est la même :

  • Au premier plan Isaac, aveugle, est couché sur son lit de mort,
  • Un autre personnage (Jacob pour l’une, sur l’autre Ésaü) forme un second plan,
  • Un troisième plan est occupé par Rebecca qui surveille la scène, soucieuse de savoir si la duperie de l’échange des frères réussira.

Dans les deux cas, le fond de la scène est fermé par un lourd rideau et forme comme un tabernacle mettant en relief une sainte représentation, il crée une boite tridimensionnelle et définit la volumétrie des personnages qui opèrent dans l’espace scénique.

Une fausse architecture en légère perspectivesert de cadre à l’espace où se trouve le lit d’Isaac, composant un imposant parallélépipède.

Le seul hiatus entre les deux scènes et la présence, dans la fresque de bénédiction de Jacob, d’un personnage qui soulève Isaac dans son lit et le fait que Rebecca soulevant la tenture, forme des plis qui donnent encore plus de mouvement à la scène.

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

La question de Giotto à Assise

Depuis de nombreuses décennies, la traditionnelle attribution à Giotto des fresques de la vie de Saint François de l’église supérieure de la basilique d’Assise, est sérieusement remise en cause, surtout par les études et les critiques d’art anglo-saxons (Rintelen, Oertel, Meiss), leurs homologues italiens, pour une bonne part, restent par contre convaincus par la thèse de Giorgio Vasari attribuant à Giotto ces œuvres. Récemment, l’intervention de Bruno Zanardi1,2, restaurateur de la basilique d’Assise après le tremblement de terre de 1997, a fortement ébranlé la séculaire opinion en rejoignant l’avis de Federico Zeriqui reconnait la main d’un peintre de l’école romaine, peut-être Pietro Cavallini, l’unique grand peintre du gothique qui étrangement, n’était pas présent sur le chantier d’Assise où par contre tous les autres peintres romains, ses contemporains, travaillaient (Jacopo Torriti et Filippo Rusuti).

L’attribution des fresques de Saint-François à Cavallini, qui reste encore une opinion minoritaire parmi les historiens d’art, jetterait un éclairage nouveau sur Maestro d’Isacco dont les fresques sont peut-être les plus proches de Cavallini, soit par sa technique, soit par les couleurs chaudes et les carnations si semblables aux fresques de Sainte-Cécile-du-Trastevere.

Nonobstant cette hypothèse, les attributions les plus acceptables sont encore celle à Giotto ou bien (moins accréditée) celle à Arnolfo di Cambio qui, à celle de sculpteur et d’architecte, ajouterait une rare habileté picturale3.

Œuvres

  • Au Maestro d’Isacco sont attribuées une série d’histoires de l’Ancien Testament qui se trouvent dans l’église supérieure de la basilique d’Assise, en particulier :
    (fresques : chacun des panneaux de 300 × 300 cmdatant de 1291-1295 environ).
    • Isaac recevant Ésaü
    • Isaac bénissant Jacob
    • Joseph descend dans le puits
    • La Coupe retrouvée dans le sac de Benjamin
    • Le Meurtre d’Abel
    • Les Docteurs de l’Église(voûte)

Notes et références

  1. (it) Bruno Zanardi, Giotto e Pietro Cavallini. La questione di Assisi e il cantiere medievale della pittura a fresco., Skira, , 296 p.
  2. Bruno Zanardi(it)
  3. (it) A.M. Romanini, « Gli occhi di Isacco. Classicismo e curiosità tra Arnolfo di Cambio e Giotto »Arte Medievaleno s. II;1,‎ 

Isaak-Meister

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

Isaak-Meister (Giotto?): Isaak weist Esau zurück, Basilica Superiore di San Francesco, Assisi

Giacobbe Giusti, Isaac Master (painter): The Isaac stories in Basilica of San Francesco d’Assisi

Isaak-Meister (Giotto?):Isaak segnet Jacob (Detail: Jakob), Basilica Superiore di San Francesco, Assisi

Als Isaak-Meister (ital. Maestro d’Isacco) wird in der Kunstgeschichte der nicht eindeutig zu identifizierende Maler von Fresken in der Oberkirche von San Francesco in Assisi bezeichnet.[1][2] Die um 1290 entstandenen Bilder zeigen auf der nördlichen Wand Szenen des Todes von Isaak aus dem Buch Genesis des Alten Testaments.[3] Das Werk des Meisters wird häufig als ein Frühwerk von Giotto betrachtet.

Versuche der Identifizierung

  • Giotto

Die Identifizierung des Isaak-Meisters mit dem jungen Giotto[4] ist eine häufig diskutierte Hypothese der Giotto-Forschung.[5] Die Bilder stehen dessen innovativem Stil und seiner Raumperspektive sehr nahe,[6] und ihnen ist im Gesamtprogramm der Fresken des Franziskus-Zyklus in Assisi eine Sonderstellung einzuräumen.[7][8] Die als „revolutionär“ geltenden Fresken des Meisters machen die Hypothese plausibel,[9] da sie in ihrer spätbyzantinischen und ihrer an die Antike angelehnten Malweise sowie durch direkte Ansprache des Betrachters durch Platzierung der Bildgegenstände im Raum eine neue Richtung hin zur Kunst der italienischen Renaissance anzeigen.

  • Arnolfo di Cambio

Es wurde die Hypothese aufgestellt, beim Isaak-Meisterhandle es sich um den italienischen Maler Arnolfo di Cambio.[10][11] Diese Vermutung bleibt jedoch umstritten.[12]

Weblinks

 Commons: Isaak-Meister – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien

Einzelnachweise

  1. Hochspringen E. Mather: The Isaac Master. London 1932
  2. Hochspringen s. a. L. Coletti: Nota sugli esordi di Giotto. In: Critica d’arte 3 (Florenz 1937), 124 ff.
  3. Hochspringen Genesis 27, 1-40
  4. Hochspringen neben E. Mather und L. Coletti auch vertreten von H. Thode, P. Toesca und B. Berenson
  5. Hochspringen zuletzt z. B. F. Flores d’Arcais: Giotto (Aus dem Italienischen). München 1995
  6. Hochspringen vgl. S. Y. Edgerton: Giotto und die Erfindung der dritten Dimension, Malerei und Geometrie am Vorabend der wissenschaftlichen Revolution München 2004
  7. Hochspringen G. G. Pochat von Böhlau: Bild – Zeit. Eine Kunstgeschichte der vierten Dimension. Wien 1999, S. 223 (Giotto, Assisi)
  8. Hochspringen W. Kemp: Die Räume der Maler: zur Bilderzählung seit Giotto. München 1996, S. 20
  9. Hochspringen so M. V. Schwarz: Giotto. München 2009
  10. Hochspringen A. M. Romanini: Gli occhi di Isacco. Claissicismo e curisosità tra Arnolfo di Cambio e Giotto. In: Arte Mediealvale. Ser. II, 1 (1987), S. 1–56 sowie A. M. Romanini: Arnolfo all’origine di Giotto: lenigma del Maestro di Isacco. In: Storia dell’arte 65 (1989), S. 5–26
  11. Hochspringen s. a. A. M. Romanini: Arnolfo di Cambio. In: Enciclopedia dell’arte medievale II. Rom 1991, S. 504–514
  12. Hochspringen vgl. z. B. P. C. Claussen: Die Kirchen der Stadt Rom im Mittelalter 1050-1300 (Band 1 A-F). Stuttgart 2002 S. 263 (S. Cecilia
    )

https://de.wikipedia.org/wiki/Isaak-Meister

http://www.giacobbegiusti.com